
Un discours que j’approuve à 100% et qui me donne l’occasion de préciser une bonne fois pour toutes ceci :
- je ne soutiens (ou ne condamne) ni Poutine ni Bachar el-Assad pour la bonne raison que je ne suis ni russe ni syrien, que ces deux dirigeants concernent d’abord leurs propres citoyens, et que je ne me sens aujourd’hui nullement menacé ni par l’un, ni par l’autre ;
- par contre, je condamne résolument et définitivement l’atlantisme agressif dit « occidental » au prétexte que je suis français et que mon pays s’est servilement aligné sur ce courant de plus en plus sordide, menaçant et va-t-en guerre.