Le doigt d’honneur de nantis pressentant leur fin
Ce n’est pas tant ce qu’ils ont commis qui importe, mais qu’ils se fassent poisser aussi connement, aussi facilement. Le crépuscule des salopards.
Ce n’est pas tant ce qu’ils ont commis qui importe, mais qu’ils se fassent poisser aussi connement, aussi facilement. Le crépuscule des salopards.
Commémorer le passé est souvent une manière de fuir le présent. Mais que dire quand on célèbre une défaite ? Oublions les sonneries aux morts, célébrons les vivants.
Les deux seules données pour vous forger une opinion et sauvegarder votre lucidité : les évolutions comparatives de la mortalité et de la surmortalité globales. Sources à entrer d’urgence dans vos favoris.
Toc-toc-toc, qui est là ? Проклятый (damned), le vaccin russe Spoutnik-V !!!
C’est comme pour la chiasse. Vous avez beau serrer les fesses, tout d’un coup les sphincters lâchent prise et le flot nauséabond se déverse sans retenue, irrépressible, torrentiel, humiliant.
Juan Branco n’y va pas par quatre chemins (le yetiblog non plus). Son interview à propos de son livre « Abattre l’ennemi » par Éric Morillot sur Sud Radio.
Comme les ultimes orgies romaines ou les agapes des dignitaires nazis, les repas clandestins de nos ministres relèvent d’une bravade suicidaire dérisoire d’avant la chute.
Rester dans le monde des vivants… Bon weekend tout le monde ! (musique : HK ; photo : Bob Solo)
Les riches meurent. Les jeunes veulent vivre. Plus d’autre alternative que de quitter le royaume des morts pour le monde des vivants.
En fait, on aurait dû se réjouir de voir un abruti contraint d’annoncer les mesures qui vont achever le monde pourri qu’il a pour fonction de défendre.
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