
OXI ! En Grèce une bataille pour le « non » aux accents gaulliens
Manifestation pour le « non » sur la place Syntagma à Athènes le lundi 29 juin
Trois infos brûlantes.
Manifestation pour le « non » sur la place Syntagma à Athènes le lundi 29 juin
Trois infos brûlantes.
Voulez-vous vraiment être gouverné par ces gens ?
Il aura suffi d’une pichenette grecque, d’un simple bon vieux croche-patte à l’ancienne sous forme de référendum, pour que l’Europe laisse tomber ses derniers oripeaux de bienséance démocratique.
Voici l’allocution prononcée par Alexis Tsipras à l’adresse du peuple grec le 26 juin 2015 (traduction : Vassiliki Papadaki pour Syriza Paris) :
Alexis Tsipras, un type à la hauteur
On l’avait dit proche de la capitulation, prêt à se soumettre à un nouveau memorandum humiliant imposé par le quarteron déchaîné des créanciers et de la Troïka réunis. Ce soir, vendredi 27 juin 2015, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, vient d’apporter un démenti cinglant à ses détracteurs :
Le 5 juillet 2015, le peuple grec décidera lui-même par référendum la réponse qu’il entend donner à ses oppresseurs : la soumission ou la rupture.
Juncker-Tsipras, la caresse qui tue
Cette manière qu’ils ont de sans cesse poser leur patte sur leur proie ! Chez les chiens, ce n’est pas un signe d’affection, mais un geste de domination. Alexis Tsipras a tort de s’y prêter. La meute ne rêve que de le soumettre. Cherchez et vous ne trouverez jamais l’image inverse.
Le Grec Yanis Varoufakis face à l’Allemand Wolfgang Schaüble
Après l’alarmisme exacerbé d’avant ce lundi 22 juin, voici que nos médiacrates et bureaucrates européens réunis tombent dans l’excès inverse : l’optimisme forcené. À tort.
Le rêve est terminé. C’est une récente enquête de l’institut Gallup qui nous le révèle : même les citoyens américains ne croient plus en leur système.
Rebelles du Front al-Nosra
Rien de tel qu’un grand reporter enraciné sur place pour se faire une idée de ce qui se passe au Moyen-Orient. Robert Fisk, indéboulonnable envoyé spécial de The Independent, est de ceux-là. Et ce qu’il dit de la situation là-bas, c’est le moins qu’on puisse dire, ne caresse pas dans le sens du poil médiatique occidental.
Plus personne ne doute que le conflit ouvert entre la Grèce et la Troïka (BCE, Commission européenne, FMI) arrive à son point de non-retour. Trois signes forts en guise de paires de claques pas volées pour un sou montrent que la Grèce se prépare désormais à l’éventualité d’une sécession pure et simple :
Soldats américains en discussion avec des habitants de Bialystok en Pologne
Les métastases du cancer guerrier n’en finissent pas de contaminer le vieux continent européen, avec la reprise des hostilités en Ukraine et une intensification en vue de la présence américaine en Europe de l’est.
Cette brève-ci se passera de commentaire, tant la fureur nous submerge…
Ce qui s’appelle se prendre les pieds dans le gazon. Le président Hollande avait cru bon voler au secours de son premier ministre Valls, parti en Falcon assister à la finale de la Champion League aux frais du contribuable énervé.
Y a-t-il jamais eu revendication plus guerrière que celle du droit au blasphème ? C’est pourtant la sommation brandie en étendard par le camp retranché de l’extrémisme athée au nom de la liberté d’expression et de la laïcité menacées.
Les dépêches se suivent et se ressemblent : de date limite en échéance fatale, aucun accord n’est signé entre la Grèce, la Troïka et les créanciers. Et pour cause, aucun accord n’est possible entre ceux-là, tout juste la reddition de l’un ou de l’autre.
Georges Soros
Il y avait la conversation leakée de Victoria Nuland, secrétaire d’État américaine pour l’Europe et l’Eurasie, anticipant la composition du futur gouvernement ukrainien putschiste. Voici maintenant les trois documents pdf hackés du milliardaire US Georges Soros prouvant son implication directe dans les affaires ukrainiennes et ses relais avec l’administration américaine.
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