
MES CONDITIONS
À l’issue du premier tour des présidentielles 2007, le dimanche 22 avril, en comptant très large, la gauche a péniblement totalisé 10,62 % des suffrages exprimés, répartis sur six candidats. Son plus faible score depuis des années. Ridicule. Pourtant une bataille politique ne s’abandonne pas à la première défaite, un navire ne se quitte pas à la première voie d’eau. Pour ma part, je suis prêt à poursuivre l’aventure vers la recomposition d’une vraie force de gauche sociale, non libérale. Sous quelques conditions.