
Pour mes secondes seventies, je rêvais de retourner sur l’île de Groix. Non pour y chercher le dépaysement ou le pittoresque, juste pour reprendre contact avec l’âpreté d’un paysage et d’une terre que les humains essaient d’illuminer de couleurs vives.
Le passage d’un rêve.
Les dauphins nous accueillirent à l’arrivée comme lors du départ. Un spectacle aussi fugitif que bouleversant. Comme cette journée…